Un début de balade très peu engageant…
Les vautours battent des ailes à la recherche de thermiques…
Quelques apparitions fugitives du soleil laisse penser que peut-être plus haut …
Mais plus haut le bord de la mare est dans le brouillard …
Plus haut les montagnes russes jouent avec les nuages
La bergerie du Jas Neuf apparaît au loin… mais pas les moutons !
Il paraît que les diplodocus avait deux cerveaux, un avant et un arrière tant ils avaient un corps long … celui-ci à deux têtes, bien faites !
De l’autre côté, les hauts plateaux sont très différents et il y a ce petit pin que les DiVertiCimes affectionnent tant qui nous salue, émergeant juste de la brume…
Les marmottes crient et un marmotton se réfugie auprès de sa mère … ils son tous les deux bien dodus à souhait ou alors est ce le poil d’hiver qui donne cette impression ?
L’aigle royal rode et c’est bien la raison de cette crainte !!!
Il rate sa chasse et se fait lui même très vite prendre en chasse par les grands corbeaux
Les vautours quand à eux parcourent le ciel sans se soucier des turpitudes des autres oiseaux !
Ah, la bergerie de Chamousset est occupée …
L’herbe est grasse et riche, l ‘estive tire à sa fin, les moutons sont le nez dans le guidon, et les bergers profitent des dernières heures du soleil…
Le ciel est de plomb et le lainage blanc des moutons prend le soleil…
Ces grands paysages cachent des champignons magiques ! les filles sont à fond après cette découverte … au bout de 3 heures de marche …
Au détour du chemin, on découvre le Mont-Aiguille
Un aigle passe au dessus de nous et il étale une magnifique queue de subadulte … Ce n ‘est donc pas l’aigle vu précédemment mais bien un autre …
Un petit thermique se charge en vautours alors que les rochers chauffent au soleil…
Mais il est 18 h, nous sommes partis vers 8 h du matin et il est temps de songer au retour ! Le Mont Aiguille décide d’arrêter sa partie de cache-cache au moment ou nous descendons par le Pas du même nom.
Et là, la dernière rencontre de la journée, qui nous fait prendre encore un peu de retard !!! On les avait cherché toute la journée sans succès …
Un jeune mâle surveille quelques étagnes et leurs jeunes…
Voici le plus petit de la troupe, avec sa mère, regardez ces minuscules cornes … Difficile d’imaginer qu ‘il passera l ‘hiver …
La petite troupe se met en marche et nous avons donc deux jeunes de l ‘année…
Facile la traversée du pierrier !
Un dernier rayon de soleil et nous voici dans l ‘ombre !
Les hauts plateaux, c’est exactement comme on nous avait dit ….la publicité n ‘est pas mensongère !